jeudi 28 juin 2012

Douceur d'été

 C'est assise à la terrasse d'un café au sein de la belle Provence que j'écris cet article, venant mettre fin à deux semaines d'absence. La décision fût prise ce printemps de quitter Paris pour un petit mois et demi en alliant travail et cadre splendide. 
Au téléphone, on me dit qu'en cette fin de mois de Juin, Paris n'a pas quitter sa robe de gris et que la chaleur n'a pas définitivement pas voulu s'installer.  On savoure alors le plaisir pris à se lever tôt, puisque le petit-déjeuner nous a été confié, à sentir encore la douce fraîcheur du petit matin dans cette région où l'été est bien là. 
Le weekend tant attendu est arrivé et on a enfin pu goûter l'excellence, la maîtrise absolue. Tout ça dans un lieu perdu, hors du temps, qui paraît hors de portée pour pouvoir mieux s'en délecter. On parvient, non sans peine à notre but, tout là-bas, en haut du plateau de l'Aubrac. Le lieu est magique et ce n'est qu'un début. 

Tout est contrôlé mais pas trop, l'accueil léché, pas guindé. 
Un menu, qu'on nous confie, presque comme une poésie qu'on nous soufflerait à l'oreille, tout comme les petits mots, qui viennent se glisser comme ça, comme ces fleurs déposée sur les assiettes, qu'on penserait là par hasard. Complètement illusoire, ici tout est pensé. Dans ces messages, le maître des lieux nous donne ses leçons de saveur vivre, une sorte de mélodie du bonheur. 

Je ne retranscrirai pas ce menu juste quelques photos, pour vous faire partager ce moment à part, une sorte de bijou gastronomique qu'on conservera dans sa mémoire comme dans un écrin... 
Le mois de Juin se termine, les vacances arrivent ou non. Elles auront peut être lieu plus tard, en Août car pour beaucoup, il faut bien les payer ces vacances. Ici, pas facile d'être très présente, la connexion internet ne se trouvant pas partout. Mais je ferai de mon mieux...